«Quand la conscience de certains musulmans les pousse au meurtre» par Christian Bibollet
Souvent, on considère les « assassins au nom d’Allah » uniquement sous l’angle de la psychiatrie. Christian Bibollet, directeur de l’Institut pour les questions relatives à l’islam, proche du Réseau évangélique suisse, montre que les choses sont plus complexes. D’une part parce que souvent ces terroristes ne sont pas conscients de la manière dont le religieux a trouvé sa place dans l’histoire de l’Occident. Et d’autre part parce qu’un certain enseignement coranique dispensé aux enfants, y compris en Suisse, valorise le mépris des non-musulmans et les châtiments à octroyer aux « mécréants ». Christian Bibollet a publié cette prise de position dans l’édition du 11 novembre du quotidien « Le Temps ».