« Les Églises évangéliques sous le IIIe Reich » par Andreas Schneider

AS mercredi 31 août 2016

Un pasteur français a demandé à lafree.ch la copie d’un article sur les évangéliques durant le IIIe Reich, paru dans l’ancêtre de VivreSemailles et moisson – en 1995 (no 6, juin-juillet, p. 20-23). Nous avons jugé que cet article méritait une publication plus large pour ceux que cette question intéresse. Le voici donc tel que paru voilà 21 ans !

Les chrétiens européens durant les années 30 et la Seconde Guerre mondiale n'ont pas été à la hauteur des défis de leur société. Toutes dénominations confondues! Heureusement quelques figures d'exception ont osé la rupture. Au prix de leur vie la plupart du temps. Commémorer les 50 ans de la fin de la Seconde Guerre mondiale nous donne l'occasion d'une confrontation avec l'histoire peu glorieuse des Églises proches de notre sensibilité théologique. Une page d'histoire qui devrait nous donner à réfléchir sur certaines options politiques des chrétiens évangéliques d'aujourd'hui.

Le 8 mai dernier, pour la cinquantième fois on commémorait la fin d'un régime de terreur et le terme d'une guerre que cette dictature avait mise en branle. Ces derniers mois, l'Europe a vécu sous le signe de cette commémoration. À aucune autre occasion par le passé, les médias, les politiciens, les Églises en Suisse et en Allemagne n'ont autant commenté les événements de la période du IIIe Reich. On a recherché des héros et on les a trouvés. Les politiciens ont, entre autres, honoré la mémoire du chef saint-gallois de la police, Paul Grüninger, que, de façon piquante, les autorités helvétiques n'ont toujours pas réhabilité. Les chrétiens rappellent la mémoire de Carl Lutz, un méthodiste qui fut à cette époque ambassadeur de Suisse en Hongrie (1). Ils rappellent aussi le souvenir du pasteur et théologien résistant Dietrich Bonhoeffer (2).

Ces individus sont fêtés par la population et par les politiques. Cependant, il ne faut pas se leurrer. La plupart de ceux qui se sont élevés contre le régime hitlérien œuvraient à partir de motifs, de convictions et de perspectives personnels. En aucune façon, ils ne représentaient des institutions publiques ou des Églises. Adaptation, silence et collaboration prédominèrent autant auprès des chrétiens allemands ou suisses que parmi les autorités de notre pays. Dans ce contexte, le rôle qu'ont joué les Églises évangéliques (Freikirchen) en Allemagne entre 1933 et 1945 donne particulièrement à réfléchir. 

Un protestantisme marqué par le nationalisme

Un premier indice de l'affinité de l'ensemble des protestants avec le nationalisme germanique apparaît déjà sous l'Empire allemand de 1871 à 1918. La monarchie prussienne, fondée sur une base idéologique et éthique proche du vieux protestantisme luthérien, passait pour être l' « Empire protestant allemand ». Les idées sociales d'inspiration chrétienne, le pacifisme (on le taxait de blasphème), la libre-pensée et la démocratie étaient considérés comme des menaces auxquelles il fallait résolument s'opposer. La République de Weimar à partir de 1919 ne fut jamais véritablement reconnue par les chrétiens. Dans une allocution lors de la grande rencontre des Églises (Kirchentag) de 1919 à Dresde, le président de cette manifestation déclara: « La gloire de l’Empire allemand, le rêve de nos pères, c'est là que réside la fierté de chaque Allemand. » Pour cette raison de nombreux chrétiens essayèrent de défendre avec ardeur les valeurs et l’identité nationales. Ils se sentaient tenus à un programme national chrétien.

La peur de la pensée libérale naissante et du bolchevisme russe, menaçant depuis la Révolution d'octobre 1917, poussèrent de nombreux chrétiens à se rapprocher du Parti ouvrier national-socialiste allemand (NSDAP), fondé en 1920. Le programme politique du parti d'Adolf Hitler promettait un retour aux valeurs chrétiennes et la constitution d'un rempart contre le communisme et contre les idées libérales.

Les violences multiples contre ceux qui pensaient autrement, les déportations et les actes d'extermination, les Églises évangéliques ne les imputaient pas publiquement à la volonté d'Hitler, mais à des partisans dévoyés, enclins à l'exagération. Le régime national-socialiste réussit, fort bien et durablement, à éblouir les Églises évangéliques et à les abuser à son profit. En gage de reconnaissance, il octroya à ces Églises la possibilité d'évangéliser librement et de développer pleinement leurs activités chrétiennes. Les Églises évangéliques utilisèrent ces libertés gagnées et se rendirent utiles dans la lutte contre le bolchevisme et la libre-pensée. De leur propre gré et au profit de l'« autorité bienveillante ». Après la chute du IIIe Reich, la direction de la Fédération des Églises évangéliques (de tendance baptiste) déclara qu'un non à l'État et au pouvoir ne lui aurait été permis que si l'annonce de l'Évangile et la possibilité de mener une vie selon les principes chrétiens lui avaient été interdites. Cela n'avait jamais été le cas !

Les Églises évangéliques, soutien de la propagande nazie

En Allemagne, les Églises évangéliques sous le IIIe Reich ont fait la promotion des nazis à la fois à l'intérieur du pays et à l'extérieur. Après la victoire électorale d'Hitler, une euphorie débordante s'empara des Églises évangéliques. C'est ainsi qu'en 1933, après la victoire du Parti national-socialiste, l'Église évangélique libre luthérienne loua cette accession au pouvoir comme un « engagement pour l'honneur et la liberté de l'Allemagne ». Elle fit l'éloge du NSDAP pour son « combat contre la saleté ». Les baptistes, dans le journal Wahrheitszeuge (Témoin de la vérité) parlèrent de l'accession d'Hitler comme de l'avènement d'un « temps nouveau » et vivement désiré. Les Communautés évangéliques libres firent l'éloge dans le journal Gärtner (Le Jardinier) du combat du NSDAP « contre la prostitution, contre l'habitude de fumer chez les femmes, contre le nudisme et contre les abus de la vie nocturne ».

Lorsque des rumeurs d'exactions contre les juifs en Allemagne parvinrent à l'étranger, les Églises évangéliques allemandes les taxèrent immédiatement de « propagande scandaleuse ». Le pasteur méthodiste Karl Zehrer écrit à ce propos dans son livre, Les Églises évangéliques et le IIIe Reich (1), que l'Église méthodiste et des communautés évangéliques auraient protesté télégraphiquement auprès de leurs Églises sœurs en Angleterre et aux États-Unis contre les allégations de leur presse locale. « La Fédération des Églises baptistes demanda au secrétaire général de la Fédération baptiste mondiale, qui demeurait à  l'époque en Allemagne, d'informer toutes les communautés baptistes du monde qu'il n'y avait pas de discrimination des juifs dans ce pays. » Ces initiatives, selon Karl Zehrer, se révélèrent « très efficaces ».

« Beaucoup de chrétiens étrangers accordèrent du crédit aux prises de position de leurs coreligionnaires allemands, même si objectivement elles étaient erronées. » Les luthériens du Synode du Missouri et du Wisconsin auraient même invité les membres de leurs Églises « à réduire à sa vraie valeur les propos incendiaires anti-allemands répandus par les juifs ». Le régime d'Hitler parvint même à renforcer la confiance des Églises évangéliques dans sa politique, au point que plus d'une était prête à considérer les SS comme une unité d'élite de chrétiens (selon le Kirchenblatt (2) en 1935).

La vérité n'est pas reconnue

La Nuit de cristal fut la première agression contre les juifs à l'échelle nationale. Des juifs furent brutalisés, la quasi-totalité des synagogues incendiées. De nombreux établissements ou commerces tenus par des juifs brûlèrent. Voilà qui impressionna peu les Églises évangéliques. Karl Zehrer relate le propos d'une rétrospective de l'année 1938 d'un point de vue méthodiste. Elle fut publiée quelques semaines après la Nuit de cristal : « Quelle année ne venons nous pas de voir se terminer ! Peut-être que nos descendants nous envierons d'avoir eu la possibilité de vivre cela et d'avoir été les témoins d'un événement aussi prodigieux dans l'histoire de notre peuple. » L'annexion du pays des Sudètes, de l'Autriche et un peu plus tard de la Tchécoslovaquie suscita l'approbation des Églises nationales et un acquiescement frénétique du côté des Églises évangéliques. Au printemps 1939, on peut lire dans le Kirchenblatt : « A toute heure décisive, que ce soit dans le passé ou dans le futur, nous tenons fermes et sommes fidèles à notre Führer. Nous le soutenons lui et son œuvre par nos prières. » L'enthousiasme ne connaissait aucune limite. Le compositeur de cantiques méthodiste, August Rücker, composa même pour l'Evangelist de 1938 un hymne de louange au Führer et à son « saint ouvrage ».

En 1938, lors de la 54e session de son synode, l'Église évangélique luthérienne libre aborda les décrets de Nuremberg qui mettaient en place une législation raciste et inhumaine relativement au mariage. Le synode invita les membres des paroisses à les respecter : « Si, pour des raisons de santé publique ou pour empêcher la misère, les autorités interdisent le mariage de personnes atteintes d'un mal héréditaire et suppriment leur capacité de reproduction à l'aide de mesures médicales, alors un chrétien doit, aussi longtemps qu'il se trouve dans le pays et par motif de conscience, observer et obéir aux lois édictées par les autorités. »

Un soutien qui perdure

Lorsque la Seconde Guerre mondiale éclata, le soutien au régime ne diminua pas. Les Églises évangéliques souhaitèrent même à Hitler chance et bénédiction de Dieu dans ses entreprises. De plus, elles faisaient preuve de beaucoup de méfiance à l'endroit de l'Église confessante (l'Église en opposition au régime) à laquelle appartenait Dietrich Bonhoeffer. Les Églises évangéliques lui reprochaient de vouloir saper l'Allemagne pour des raisons de politique ecclésiale. Le Führer récompensa cette attitude de divers avantages. Il autorisa les Églises évangéliques à mener de grandes évangélisations publiques et des missions sous tente. Hitler fit même don de la somme de 10'000 Mark de l'époque à une Église méthodiste en vue de l'achat des orgues. Les Églises évangéliques légitimaient de tels avantages par le fait qu'elles limitaient leurs activités exclusivement à l'annonce de l'Évangile, à l'enseignement de la Parole et à la relation d'aide. L'évêque allemand de l'Église méthodiste déclara à ce propos que « les Églises méthodistes disposaient sous le IIIe Reich d'une liberté dont elle n'avait jamais joui nulle part ailleurs dans le passé ». Il déclara aussi que « si l'Église protestante nationale se plaignait des persécutions dont elle était victime, elle ne pouvait s'en prendre qu'au fait qu'elle s'immisçait dans les questions politiques ».

Les prédicateurs ou les pasteurs qui se risquaient à l'intérieur des églises à émettre des doutes par rapport à Hitler étaient mis à pied. Ce fut l'expérience de Walter Kuschke, pasteur de l'Église évangélique luthérienne de l'Ancienne Prusse qui avait été incorporé à la Wehrmacht. Zehrer écrit: « II avait exprimé devant ses camarades soldats quelques réserves négatives par rapport au salut hitlérien. Il les avait aussi mis en garde contre un excès de confiance à l'endroit du Führer. Ce dernier les mènerait tous à la ruine. »

Devant le tribunal militaire, il maintint ses affirmations et déclara qu'Hitler avait envahi des pays comme la Hollande ou la Belgique en vain. En automne 1940, cela valut à Walter Kuschke une année de prison. Du côté de son Église, il fut suspendu de son poste « à cause de sa faute mise à jour devant un tribunal ». 

Au fur et à mesure que la guerre se développait, rien ne vint atténuer les affinités des Églises avec le régime national-socialiste. Selon Zehrer, l'Église méthodiste, entre le milieu de 1940 et le milieu de 1941, n'a perdu que douze personnes pour des raisons politiques. Parmi celles-ci, « la plupart avaient quitté cette Église, parce qu'elles la trouvaient trop peu favorable aux nazis ». Les Églises affiliées à la Fédération des Églises évangéliques libres (Verband Evangelischer Freikirchen) virent dans les expéditions militaires menées par Hitler dans les Balkans des composantes spirituelles. Ainsi, on trouve dans le journal Wort und Tat (Parole et action) : « Nos frères des Balkans retrouveront non seulement leur origine raciale mais aussi spirituelle... » 

En 1944, au moment où la guerre commençait à basculer enfin en défaveur d'Hitler, celui-ci pouvait continuer à compter sur la fidélité inébranlable de ses partisans évangéliques. On trouve l'indice le plus clair de cette loyauté dans une déclaration faite après l'attentat de Stauffenberg contre Hitler le 20 juillet 1944, dans le quartier général du Führer. Un télégramme de la Fédération des Églises évangéliques libres déclare : « Vous avez échappé à un attentat infâme. À cette occasion, nous remercions Dieu avec une joie profonde et nous vous assurons de notre intercession future… »

Difficiles aveux

Après la chute du Reich, le 8 mai 1945, les Églises évangéliques eurent passablement de peine à avouer leur culpabilité et leurs erreurs. Quelques Églises libres se solidarisèrent avec la « Déclaration de culpabilité de Stuttgart » des Églises nationales protestantes. Les Églises baptistes refusèrent cependant de faire l'aveu de leur culpabilité. L’Église méthodiste eut bien de la peine à le faire. Ce n'est qu'à la suite de pressions extérieures, provenant notamment des autres Églises méthodistes du monde, qu'elle admit sa culpabilité sous la forme d'une déclaration.

Les mennonites ont traité de façon très détaillée et critique de leur histoire pendant le IIIe Reich. De nombreuses publications sont parues sur ce thème. Dans l'Église méthodiste, c'est en 1986 que Karl Zehrer a publié son ouvrage : Les Églises évangéliques et le IIIe Reich.

Andreas Schneider (6)

 

Notes

1 Carl Lutz, engagé dans l'Église méthodiste de Reineck (SG), a fait carrière dans la diplomatie helvétique. Alors qu'il était en fonction à Budapest, il a permis à 62 000 juifs d'échapper à la persécution  nazie en leur procurant des sauf-conduits, des caches diverses. À la suite de son action, d'autres instances diplomatiques firent de même en Hongrie (voir le livre de Théo Tschuy, Carl Lutz und die Juden von Budapest, Zurich, NZZ, 19992).
2 Dietrich Bonhoeffer est la figure emblématique de la résistance protestante au nazisme. Mis à mort peu avant la fin de la guerre par les nazis, ce pasteur et théologien luthérien avait poussé son engagement de résistant jusqu'à participer à un complot contre Hitler (voir Eberhard Bethge, Dietrich Bonhoeffer, traduction française d'E. de Peyer, Genève, Labor et Fides, 1969).
3 Karl Zehrer, Evangelische Freikirchen und das « Dritte Reich », Göttingen, Vandenhoeck und Ruprecht, 1968.
4 Le Kirchenblatt est l'organe de presse de l'Eglise évangélique luthérienne de l'Ancienne Prusse.
5 Il s'agit de l'organe de presse de l’Église méthodiste.
6 Andreas Schneider travaille comme journaliste pour l'agence de presse de l'Alliance évangélique suisse alémanique. Il a publié cet article dans  Ideamagazin no 8/1995. Nous remercions l'auteur et l'éditeur pour l'autorisation de publier cette contribution.

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