Ils ont vécu l’onction d’huile

Ils ont vécu l'onction d'huile
20 juin 2016

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A la suite d'un article de Marc Lüthi à propos de l'onction d'huile, publié dans Vivre de janvier-février, quatre témoignages viennent confirmer la richesse de cette pratique.

Le Vivre de janvier-février dernier proposait un article intitulé : « L’onction d’huile, une pratique à redécouvrir ». Son auteur, le pasteur Marc Lüthi, présentait cette pratique comme la source de toutes sortes de richesses spirituelles, lorsqu’elle accompagne les remises en question qu’engendrent les maladies. Par la confession des péchés et la prière, elle donne de belles occasions de grandir dans les relations fraternelles et dans l’amour chrétien. Elle permet également d’éprouver la sollicitude d’un Dieu qui guérit de manière parfois inattendue.

Quatre témoignages de malades qui ont bénéficié de l’onction d’huile viennent le confirmer : cette démarche est source de nombreuses richesses. Elle est l’occasion d’expérimenter la sollicitude et l’action de Dieu de toutes sortes de manières.

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L'onction d'huile selon l'apôtre Jacques

« L'un de vous est-il malade ? Qu'il appelle les responsables de l'Eglise, qui prieront pour lui, après lui avoir fait une onction d'huile au nom du Seigneur. La prière faite avec foi sauvera le malade et le Seigneur le relèvera. S'il a commis quelque péché, il lui sera pardonné. Confessez vos péchés les uns aux autres et priez les uns pour les autres, afin que vous soyez guéris. Quand un juste prie, sa prière a une grande efficacité » (Ja 5.14-16).

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D'un sentiment d'abandon à un sentiment de sécurité

beatrice claudeDepuis que je suis toute petite, Dieu a fait partie de ma vie. Mais, depuis toujours, j'ai lutté contre un profond sentiment d'abandon qui a empoisonné mon quotidien dans de nombreuses situations. Cela a particulièrement eu des répercussions dans ma vie de couple.

J'avais tout essayé : la prière, la proclamation de versets bibliques. Mais rien n'avait d'impact sur mes émotions. Puis un thérapeute m'a proposé de bénéficier d'une onction d'huile. J'ai accepté avec l'impression que, tout au fond de moi, je cherchais cela depuis longtemps.

Ma naissance, une année après celle de mon frère, n'avait été ni attendue, ni désirée. Ma maman ne voulait pas, à ce moment, d'un deuxième enfant. Cette onction d'huile m'a permis de ressentir la présence de Dieu en même temps que le froid de la mort. Dieu m'a fait comprendre qu'il a placé sa main protectrice sur moi.

Depuis lors, j'ai expérimenté une présence très forte de l'amour de Dieu, ainsi qu'un profond sentiment de sécurité. J'ai vécu une guérison et une libération qui ont transformé ma vie.

Béatrice Claude à Cerniaz

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Dieu, lorsque que tout nous échappe

Gerald Stocker 4Le 16 octobre 2015, je rentre en clinique pour une intervention banale sur les intestins. L'intervention se passe très bien. Mais deux jours après, je développe un problème inattendu d'arythmie cardiaque. Celui-ci est réglé rapidement par une petite intervention. Encore deux jours plus tard, alors que je sors de l'hôpital, je fais une hémorragie interne massive qui nécessite une nouvelle intervention. Le lendemain, une péritonite se déclare et je suis à nouveau opéré en urgence. A ce moment, je fais un choc septique et le pronostic vital est défavorable.

Mon épouse Fabienne reçoit de son père un livret intitulé « 21 jours pour atteindre le but ». En le lisant, elle tombe sur un texte biblique tiré du livre de Daniel : « N'aie pas peur, Daniel ! Dès le premier jour où tu as manifesté ton humble soumission envers ton Dieu, en ayant à cœur de comprendre ce qui se passait, ta prière a été entendue et je me suis mis en route pour t'apporter la réponse. Mais l'ange protecteur de l'empire perse s'est opposé à moi pendant vingt et un jours, jusqu'au moment où Michel, l'un des principaux anges, est venu à mon aide » (Da 10.12-13).

Bien traité aux soins intensifs, je retrouve une tension acceptable et ma santé devrait rapidement s’améliorer. Pourtant, c'est le contraire qui se passe. Plusieurs problèmes s’enchaînent : eau dans les poumons, pancréatite, fièvre élevée. Tout va mal ! Mon cœur s'emballe, il tape de plus en plus fort. Puis une grave septicémie se déclare, accompagnée de foyer infectieux inopérables. Que faire ?

Gerald Stocker 2

Je demande l'onction d’huile. Depuis plusieurs jours, je suis habité par le personnage de Job. Son livre montre que son épreuve est accompagnée d'un combat spirituel. La demande de l'onction d'huile s'impose à moi comme une évidence.

Le jeudi 5 novembre, je reçois l’onction d’huile. Les paroles de deux chants me touchent particulièrement. Le premier chant décrit ma situation : « J'étais brisé, vide et sans espoir, ta grâce m'a trouvé. Je veux te servir pour que tous voient ta vie en moi. » Le second chant me rend la joie : « L'Eternel est mon berger, de rien je ne manquerai. O mon âme chante mon âme. Et tant qu'il se trouve auprès de moi, aucun mal, mon âme, tu ne craindras. »

Des amis et connaissances d'un peu partout se mobilisent et intercèdent pour moi. Nous prions pour que l’Eternel mette une barrière de protection divine autour de moi et qu'il conduise ceux qui me soignent. Le 6 novembre, 21 jours après la première intervention, je me sens mieux. Le lendemain, je sors des soins intensifs. Les foyers infectieux disparaissent successivement.

Après 40 jours d’hospitalisation, je sors de la clinique. Ces chiffres 21 et 40 m'interpellent. Je reste attentif !

Gérald Stocker à Echandens

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Dieu, lorsque que tout nous échappe

Gerald Stocker 4Le 16 octobre 2015, je rentre en clinique pour une intervention banale sur les intestins. L'intervention se passe très bien. Mais deux jours après, je développe un problème inattendu d'arythmie cardiaque. Celui-ci est réglé rapidement par une petite intervention. Encore deux jours plus tard, alors que je sors de l'hôpital, je fais une hémorragie interne massive qui nécessite une nouvelle intervention. Le lendemain, une péritonite se déclare et je suis à nouveau opéré en urgence. A ce moment, je fais un choc septique et le pronostic vital est défavorable.

Mon épouse Fabienne reçoit de son père un livret intitulé « 21 jours pour atteindre le but ». En le lisant, elle tombe sur un texte biblique tiré du livre de Daniel : « N'aie pas peur, Daniel ! Dès le premier jour où tu as manifesté ton humble soumission envers ton Dieu, en ayant à cœur de comprendre ce qui se passait, ta prière a été entendue et je me suis mis en route pour t'apporter la réponse. Mais l'ange protecteur de l'empire perse s'est opposé à moi pendant vingt et un jours, jusqu'au moment où Michel, l'un des principaux anges, est venu à mon aide » (Da 10.12-13).

Bien traité aux soins intensifs, je retrouve une tension acceptable et ma santé devrait rapidement s’améliorer. Pourtant, c'est le contraire qui se passe. Plusieurs problèmes s’enchaînent : eau dans les poumons, pancréatite, fièvre élevée. Tout va mal ! Mon cœur s'emballe, il tape de plus en plus fort. Puis une grave septicémie se déclare, accompagnée de foyer infectieux inopérables. Que faire ?

Gerald Stocker 2

Je demande l'onction d’huile. Depuis plusieurs jours, je suis habité par le personnage de Job. Son livre montre que son épreuve est accompagnée d'un combat spirituel. La demande de l'onction d'huile s'impose à moi comme une évidence.

Le jeudi 5 novembre, je reçois l’onction d’huile. Les paroles de deux chants me touchent particulièrement. Le premier chant décrit ma situation : « J'étais brisé, vide et sans espoir, ta grâce m'a trouvé. Je veux te servir pour que tous voient ta vie en moi. » Le second chant me rend la joie : « L'Eternel est mon berger, de rien je ne manquerai. O mon âme chante mon âme. Et tant qu'il se trouve auprès de moi, aucun mal, mon âme, tu ne craindras. »

Des amis et connaissances d'un peu partout se mobilisent et intercèdent pour moi. Nous prions pour que l’Eternel mette une barrière de protection divine autour de moi et qu'il conduise ceux qui me soignent. Le 6 novembre, 21 jours après la première intervention, je me sens mieux. Le lendemain, je sors des soins intensifs. Les foyers infectieux disparaissent successivement.

Après 40 jours d’hospitalisation, je sors de la clinique. Ces chiffres 21 et 40 m'interpellent. Je reste attentif !

Gérald Stocker à Echandens

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