Au début de ses études de médecine, Martine Fritsch est violemment confrontée aux questions existentielles de la vie et de la mort. En plein désespoir, elle achète une bible…
A la lecture de la phrase du Christ : « Je ne suis pas venu pour les bien-portants, mais pour les malades », la future médecin humanitaire comprend que cette parole concerne aussi sa souffrance intérieure. Martine Fritsch va désormais opter pour la confiance en Dieu.