Après le décès de son mari, Jacqueline Dauxois a mené des études approfondies sur la bio-éthique. Elle se passionne pour ce qui fait la dignité d’une personne, même aux portes de la mort.
« Pour moi, dit-elle, celui qui perd sa dignité, c’est celui qui maltraite ou porte un regard indigne sur la personne mourante. Et pas le contraire. »