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« Evangile et développement », le livre du théologien réformé Reto Gmünder, fait un tabac actuellement dans les milieux évangéliques intéressés par les questions Nord-Sud. De manière très stimulante, ce petit livre articule action sociale et témoignage chrétien, au point qu’il fait partie des ouvrages de référence pour ceux qui réfléchissent à « Stop pauvreté 2015 ». Alors pour découvrir ce livre et son auteur, 2 possibilités : lire cette recension ou participer à la journée de la Plateforme chrétienne de développement du Réseau évangélique, qui accueillera Reto Gmünder, le 24 février à l’Eglise évangélique la Colline à Crissier. Et pourquoi pas en final lire le livre ?

Au Laos, le Service fraternel d’entraide, une ONG franco-suisse proche des AESR, se développe. Il participe à la création d’un mouvement de commerce équitable autour de produits d’artisanat laotien. L’occasion de soutenir dans nos Eglises, mais aussi sur des marchés ou dans le cadre d’autres manifestations, une démarche « Stop pauvreté 2015 ». Des populations défavorisées du Laos en bénéficieront !

La campagne « StopPauvreté.2015 » bénéficie de forces nouvelles. Jean-Daniel André vient d’être nommé au poste de coordinateur romand de la campagne. Il assurera cette tâche à soixante pour-cent, en relation étroite avec le Réseau évangélique et sa Plateforme de développement.

Elle revient de 8 mois au Laos, avec un regard neuf sur ce peuple que les touristes trouvent parfois nonchalant. Véronique Moret a rencontré dans ce pays des gens actifs et prêts à développer toutes sortes d’activités, pour autant qu’on leur en donne les moyens. C’est à cela que sert une ONG comme le SFE (le Service fraternel d’entraide). Un engagement "Stop pauvreté 2015".
Catherine Mourtada vit depuis une quinzaine d'années à Beyrouth au Liban. Avec l'association Tahaddi, elle anime une école dans un bidonville de Beyrouth pour des enfants analphabètes. Elle visite aussi les prisons libanaises. Après un mois de visite en Suisse, Catherine Mourtada est retournée au Liban la semaine dernière. Cette Suissesse est une envoyée du Trait d'union missionnaire (TUM) de l'Union des AESR. Voici sa chronique du 8 septembre.

Eveline Félix vit au Tchad depuis 15 ans. Elle a enseigné des cours bibliques durant 12 ans. En 2003, elle revient en Europe pour une année sabbatique qui marquera le début d’une nouvelle orientation dans son ministère : la prévention du sida dans les Eglises tchadiennes. Un engagement « Stop pauvreté 2015 », qui s’inscrit dans le 6e Objectif du Millénaire pour le développement : combattre le VIH/sida, le paludisme et d’autres maladies. Témoignage.

Le thème des enfants dits « sorciers » en République démocratique du Congo fait débat en Suisse romande actuellement. Notamment dans le cadre de l’émission « Les Zèbres » de Jean-Marc Richard sur La Première de la RSR. En août 2003, Serge Carrel publiait dans le journal « Vivre » un article sur ce grave problème social, à Kinshasa notamment. En mettant en ligne cet article aujourd'hui, nous espérons apporter un éclairage sur l’arrière-plan spirituel et économique qui préside à la stigmatisation de ces enfants. Parce que mettre en cause de manière unilatérale les Eglises évangéliques est un peu court dans cette question sociale importante !

Eric et Vania Niklaus viennent de passer 10 ans en Afrique centrale avec l’Association Wycliffe pour la traduction de la Bible. Objectif n° 1: mettre la Bible à la portée de chacun dans sa langue. Encore faut-il que les gens soient alphabétisés... et puissent nourrir leur famille ! Rétrospective d’un projet qui s’est fait de plus en plus holistique ! Cet engagement est l’un des 8 engagements de la campagne 2006 du Trait d’union missionnaire (TUM), une campagne qui s’inscrit dans le cadre de « Stop pauvreté 2015 », une démarche de lutte contre la pauvreté initiée par les évangéliques de la planète.

D’importantes inondations ont endommagé la ferme du Service fraternel d’entraide (SFE) au Laos. Elles ont endommagé l’infrastructure du projet de sériciculture, soutenu par cette ONG proche des AESR. L’étendue des dégâts n’est pas encore connue. Les envoyés sur place s’activent aux nettoyages et à la réhabilitation de ce qui peut l’être. Echos.
mercredi, 09 août 2006 19:18

Une envoyée des AESR de retour de Beyrouth

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Elle n'as pas été évacuée du Liban. Elle ne voulait pas quitter le pays du Cèdre avant la date fixée de son reour annuel au mois d'août. La Vaudoise Catherine Mourtada est arrivée hier à Yverdon-les-Bains. Ces prochaines semaines, elle évoquera dans différentes Eglises de Suisse romande la situation de son pays d’adoption, le Liban, et son engagement dans un bidonville de la banlieue de Beyrouth en faveur des enfants non scolarisés. Cette année, elle aura encore d'autres choses à raconter...
Catherine Mourtada vit depuis une quinzaine d'années à Beyrouth au Liban. Avec l'association Tahaddi, elle anime une école dans un bidonville de Beyrouth pour des enfants analphabètes. Elle visite aussi les prisons libanaises. Pour l'instant Catherine Mourtada a décidé de rester au Liban avec sa fille Nayla. Cette Suissesse compte parmi les envoyés du Trait d'union missionnaire (TUM) de l'Union des AESR. Voici sa chronique du 5 août.
Catherine Mourtada vit depuis une quinzaine d'années à Beyrouth au Liban. Avec l'association Tahaddi, elle anime une école dans un bidonville de Beyrouth pour des enfants analphabètes. Elle visite aussi les prisons libanaises. Pour l'instant Catherine Mourtada a décidé de rester au Liban avec sa fille Nayla. Cette Suissesse compte parmi les envoyés du Trait d'union missionnaire (TUM) de l'Union des AESR. Voici sa chronique du 22 juillet.
Catherine Mourtada vit depuis une quinzaine d'années à Beyrouth au Liban. Avec l'association Tahaddi, elle anime une école dans un bidonville de Beyrouth pour des enfants analphabètes. Elle visite aussi les prisons libanaises. Pour l'instant Catherine Mourtada a décidé de rester au Liban avec sa fille Nayla. Cette Suissesse compte parmi les envoyés du Trait d'union missionnaire (TUM) de l'Union des AESR. Voici sa chronique du 19 juillet.
Catherine Mourtada vit depuis une quinzaine d'années à Beyrouth au Liban. Avec l'association Tahaddi, elle anime une école dans un bidonville de Beyrouth pour des enfants analphabètes. Elle visite aussi les prisons libanaises. Pour l'instant Catherine Mourtada a décidé de rester au Liban avec sa fille Nayla. Cette Suissesse compte parmi les envoyés du Trait d'union missionnaire (TUM) de l'Union des AESR. Voici sa chronique du 17 juillet.
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